En vert le chemin parcouru à pied, en bleu celui parcouru en bateau.
La vue de l’hôtel, à 20 mètres de la mer.
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L’hôtel, vu de la plage (« Ca c’est Palace ! »™)
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Les deux petites iles qui font face à l’hôtel.
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Le petit port de pêche de Petrovac, surmonté de son phare.
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La petite plage publique de Petrovac, elle est plus fréquentée l’après-midi, sans être bondée.
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La plage, vue du port de pêche. Notez l’eau limpide et bleue turquoise.
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Début de l’excursion le long de la riviera.
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Le côtes sont majoritairement rocailleuses, néanmoins la végétation trouve toujours de quoi subsister et des habitations s’installent sur les parties planes du relief.
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Quelques grottes émaillent la côte.
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Petit hameau entièrement construit et habité par des russes, qui prennent la côte monténégrine comme lieu de villégiature. De plus en plus de terrain sont achetés ainsi par des étranger, a vil prix, en profitant de la pauvreté des habitants.
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La presque-ile de Stevi Stephan (Saint-Antoine) en est un parfait exemple : l’ile au complet a été louée pour une durée de 25 ans par de riches saoudiens. L’accès à ce joyaux du littoral est maintenant interdit à la population.
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Le bord de mer est relativement calme, même si l’on rencontre parfois un scooter des mer ou un voilier de plaisance, qui remplacent peu à peu les barques de pêcheurs.
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Le port de Budva, ville côtière dédiée au tourisme, parfaite si l’on cherche de l’animation.
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Les yachts et les navires de tourisme prennent ici aussi la place des esquifs de pêcheur.
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La vielle ville de Budva débouche sur le port et a gardé son charme intact.
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Budva dispose d’églises de toutes les confessions du bassin méditerranéen. Cette ville était connue pour sa grande tolérance religieuse; à ceux qui demandaient sa religion à un habitant de la ville, leur réponse était simple et emprunte de fierté: « Je suis de Budva ». Les églises orthodoxes sont les plus richement décorées, avec des icônes et des fresques murales.
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La religion orthodoxe met particulièrement l’accent sur la sainte trinité, ce qui explique la répétition du chiffre 3 dans l’architecture des églises (ici les trois clochers ont perdu leur carillon).
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La plage vue de l’ancienne garnison de Budva.
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Un panoramique du port.
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Oui, bon, on en a aussi chez nous des moineaux, mais celui-ci est monténégrin (ne sent-on pas l’exotisme ?).
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L’ile de Stevi Niklas (Saint Nicolas) au large de Budva.
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Le soleil commence déjà à décliner, il est temps de renter à Petrovac.
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On reste (heureuseument) encore assez loin de Miami vice.
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